dimanche 12 avril 2009

Synthèse du bloc langue écrite


Dès le début du cours d’Expression orale et écrite, il était clairement énoncé que nous devions acquérir certaines méthodes et stratégies de correction et de communication en expression orale et écrite. Cela devait nous permettre d’entamer une démarche individuelle et collective de développement professionnel puisque le cours, dans le domaine de la communication, nous permet de nous améliorer, de réfléchir et de nous sensibiliser. C’est dans cette optique que nous commencer le bloc en langue orale dont j’ai fait le résumé plus tôt. Aujourd’hui, je vous présente la synthèse de cette seconde et dernière partie du cours, c’est-à-dire le bloc langue écrite.


Apprentissages effectués


Lors du second bloc du cours, langue écrite, nous avons eu malheureusement que très peu de cours (deux au total). Par contre, la matière vue en classe n’en était pas moins intéressante et importante. D’ailleurs, celle-ci nous préparait directement à l’examen final de ce cours qui était d’écrire un texte argumentatif sur une problématique quelconque en éducation.


Dans le cadre du premier cours, nous avons étudié la notion du texte argumentatif. D’abord, nous avons pu constater que cette catégorie englobe plusieurs genres de texte (écrit polémique, texte politique, etc.) qui ont une visée persuasive. On entend par persuasive que ces textes permettent de convaincre, de persuader ou d’influencer l’opinion d’une personne, d’une communauté ou encore d’une société. À travers tout cela, nous avons reçu diverses pistes didactiques (grilles d’évaluation de la qualité de l’argumentation, exercices, etc.) afin d’aider nos futurs élèves à produire des textes argumentatifs originaux et convaincants. D'ailleurs, l'article sur ce sujet de Mme Chartrand fut très intéressant. L'auteure nous donnait vraiment des indices pour guider nos futurs élèves dans ce processus d'écriture.


Lors de notre deuxième cours du bloc langue écrite, nous avons surtout travaillé la grammaire de phrase et du texte. Durant les premières heures du cours, le professeur nous a d’abord présenté la définition d’une phrase graphique. Ensuite, nous avons revu quels étaient les différents groupe de base qui formaient une phrase grammaticale (GNs et GVp). Évidement, nous avons constaté que nous pouvons ajouter des groupes complémentaires à ces derniers et relier deux phrase ensemble à l’aide de la juxtaposition, la coordination et la subordination. Enfin, nous avons rattaché au tout la notion de ponctuation en nous demandant quel était le rôle de celle-ci dans une phrase.


Pendant la seconde partie de ce cours, nous avons vu différentes étapes reliées au processus d’écriture du texte argumentatif. Nous avons appris à gérer notre temps durant une production écrite, à utiliser diverses stratégies et à élaborer un bon plan. Plus en lien avec l’écriture du texte argumentatif en tant que tel, nous avons établi qu’il avait plusieurs façons de structurer notre texte (explication argumentative, démonstration argumentative, réfutation, etc.) et que l’introduction et la conclusion avaient des rôles précis dans la production écrite.


Compétences langagières en écriture


Durant les deux cours de la partie en langue écrite, je constate que j’ai surtout travaillé la cohérence textuelle et l’orthographe grammaticale.


Pour le développement de cette première compétence, nous avons étudié, par petites parties, la production d’un texte argumentatif. Nous savons, maintenant, identifier divers éléments importants dans un texte de ce genre (qui, quoi, comment, où, etc.), faire un bon plan et, évidemment, écrire des textes selon une structure donnée tout en gardant une certaine originalité. Par la même occasion, nous avons cerné l’importance de la concordance des temps dans un texte. En général, je considère que je maîtrise bien les notions liées à la production écrite d’un texte argumentatif.


Dans le domaine de l’orthographe grammaticale, nous avons fait, suite à un retour sur la grammaire de phrase, de nombreux exercices en lien avec la phrase graphique, l’utilisation de la subordination, la juxtaposition et la coordination et l’utilisation des prépositions. À la suite de ces activités, je croyais bien maîtriser ces connaissances. Par contre, lorsqu’il venu le temps de corriger des textes écrits par des élèves, j’ai dû m’avouer vaincue. Tous les apprentissages faits jusqu’à maintenant n’étaient pas suffisants face à une telle tâche.

Compétences professionnelles


Tout au long de ce cours, nous devions travailler sur quatre compétences professionnelles principales tirées parmi le guide de formation des enseignants. Pour ma part, j’ai démontré, en maintes occasions, que je développais peu à peu ces compétences.

Au niveau de la compétence 2, je peux affirmer avec certitude que tous les apprentissages effectués en classe m’ont permis de communiquer correctement et clairement à l’écrit. La matière vue en classe m’amenait à réfléchir sur mes compétences langagières en écriture et à faire les changements qui s’imposaient.


Malgré toutes les notions de français que nous avons vues en classe, nous étions appelés à réfléchir sur la pratique de notre future profession. Nous devions nous questionner sur la réforme scolaire, les façons d’enseigner certaines connaissances en français, d’aider et d’évaluer nos futurs élèves. De cette manière, j’ai réussi à travailler la compétence un.


En ce qui a trait à la compétence 12, je crois que j’ai toujours fait preuve de respect envers mes collègues et, lorsque je faisais des remarques, celles-ci n’étaient pas déplacées et visaient à aider les autres à s’améliorer.


À travers tout ce long processus de développement professionnel, j’ai, évidemment, travaillé la compétence 11. Dans cette perspective, je me suis présentée à tous les cours et j’ai fait preuve d’une bonne écoute puisque je jugeais le cours nécessaire à ma formation.

Pour conclure, la partie en communication écrite, tout comme celle en orale, m’a grandement aidé à développer de nombreuses compétences tant sur le plan langagier et professionnel. Durant les nombreuses périodes en classe, je travaillais à m’améliorer et à enrichir ma formation. Toutes cette nouvelles acquisitions, je l’espère, me seront profitables dans un futur proche.

cours 2 du bloc langue écrite


Lors de notre deuxième cours du bloc langue écrite, nous avons surtout travaillé la grammaire de phrase et du texte. Cela nous a permis de faire une bonne révision sur certaines notions de la langue écrite.

Durant les premières heures du cours, le professeur nous a d’abord présenté la définition d’une phrase graphique. Ensuite, nous avons revu quels étaient les différents groupe de base qui formaient une phrase grammaticale. Évidement, nous avons constaté que nous pouvons ajouter des groupes complémentaires à ces derniers et relier deux phrase ensemble à l’aide de la juxtaposition, la coordination et la subordination. Enfin, nous avons rattaché au tout la notion de ponctuation en nous demandant quel était le rôle de celle-ci dans une phrase.


Lors de la seconde partie du cours, nous avons vu différentes étapes reliées au processus d’écriture du texte argumentatif. Nous avons appris à gérer notre temps durant une production écrite, à utiliser diverses stratégies et à élaborer un bon plan. Plus en lien avec l’écriture du texte argumentatif en tant que tel, nous avons établi qu’il avait plusieurs façons de structurer notre texte et que l’introduction et la conclusion avaient des rôles précis dans la production écrite.

Encore une fois cette semaine, la compétence en écriture travaillée est liée à la cohérence textuelle puisque nous avons fait divers exercices portant sur la progression et la reprise des idées dans un texte argumentatif. De plus, à travers tout cela, nous avons beaucoup discuté au sujet de la concordance des temps qui est très importante dans un texte.

Dans le cadre de ce cours, j’ai travaillé les compétences deux et onze parce que j’ai appris ou revu certaines connaissances en français qui me permettent d’améliorer ma communication écrite. Cela est vraiment nécessaire à ma formation.

samedi 14 mars 2009

Premier cours de la partie écrite

Dans le cadre de ce cours, nous avons étudié la notion du texte argumentatif. D’abord, nous avons pu constater que cette catégorie englobe plusieurs genres de texte (écrit polémique, texte politique, etc.) qui ont une visée persuasive. On entend par persuasive que ces textes permettent de convaincre, de persuader ou d’influencer l’opinion d’une personne, d’une communauté ou encore d’une société. À travers tout cela, nous avons reçu diverses pistes didactiques (grilles d’évaluation de la qualité de l’argumentation, exercices, etc.) afin d’aider nos futurs élèves à produire des textes argumentatifs originaux et convaincants. D'ailleurs, l'article sur ce sujet de Mme Chartrand fut très intéressant. L'auteure nous donnait vraiment des indices pour guider nos futurs élèves dans ce processus d'écriture.

mercredi 25 février 2009

Synthèse en langue orale



Dans le cadre du cours d’Expression orale et expression écrite nous sommes amenés, en tant que futurs enseignants, à développer de nombreuses compétences professionnelles et de communication orale et écrite. Évidemment, le but est de faire de nous des enseignants consciencieux, responsables, efficaces, mais surtout capables de créer des situations d’apprentissage tout en s’exprimant de façon convenable. Pour atteindre cet objectif, dans la première partie du cours (bloc en langue orale), nous avons étudié plusieurs faits de la langue orale (anglicismes, éléments prosodiques, etc.) et nous avons fait des discussions afin de s’auto-évaluer et être évaluer par nos pairs sur notre maîtrise de la langue.

Maintenant que cette partie du cours est terminée, je vous présente une synthèse de celle-ci. Vous y trouverez les différents éléments sur lesquels nous devions porter une attention particulière tels que les apprentissages effectués, les compétences langagières orales développées et les compétences professionnelles travaillées.
Apprentissages effectués

Tout au long du cours, nous avons eu la possibilité d’ajouter de nouvelles connaissances à notre bagage. À d’autres occasions, les différentes situations d’apprentissage nous amenaient simplement à rafraîchir certaines notions déjà apprisses. Pour ma part, les diverses explications sur les faits de la langue ainsi que les activités en lien, m’ont permis de faire de nombreux apprentissages. Dès le premier cours, je pris conscience de ces nouvelles acquisitions. J’ai vu, d’abord, que la situation de communication comporte divers éléments (émetteur, référent, etc.). Ensuite, que les enseignants devaient posséder certaines qualités de communicateur telles qu’une bonne prononciation et un bon rythme. En lien avec cela, nous avons pu observer, à l’aide de différents scénarios, les qualités et les défauts de certaines personnes en tant que communicateurs. En outre, nous avons vu, en classe, les différents registres de langue (populaire, soutenu, etc.) Aussi, nous avons appris, grâce à une activité de transcription phonétique, à faire le lien entre la langue écrite et orale. Durant cet exercice, nous devions transcrire des mots à l’aide de l’alphabet phonétique. Également, nous avons eu la chance d’évaluer des discussions entre des élèves du secondaire. D’ailleurs, une grille d’évaluation a été fournie à cet effet. Durant le déroulement de cette activité, nous avons pu constater que cette nouvelle grille d’évaluation comportait les mêmes critères, sans être aussi précis, que celle que nous utilisions. Au reste, nous avons abordé le sujet des anglicismes. Ceux-ci, divisés en cinq grandes catégories (anglicismes de mot, orthographiques, syntaxiques, sémantiques et typographiques), se faufilent fréquemment dans notre discours ou dans nos écrits. Il faut en prendre conscience et les utiliser à bon escient. Enfin, nous avons vu l’évolution de la grammaire à travers les siècles et que celle-ci portait sur la phrase, mais aussi sur le texte. D’ailleurs, nous avons terminé le dernier cours du bloc en langue orale en regardant les différentes composantes de la grammaire de texte. En effet, nous avons compris que pour qu’un texte suscite de l’intérêt et qu’il soit compréhensible, l’auteur doit évidemment suivre des règles fondamentales. Que ce soit au niveau de la cohérence, de l’organisation graphique et de l’intégration des informations, il est important de respecter le code établi en matière d’écriture.


Compétences langagières orales


Le développement des compétences langagières représente une bonne partie du cours de communication. Les discussions sont un bon moyen pour mettre en pratique ces habiletés. Suite aux diverses discussions, je crois que je me suis améliorée à ce niveau, mais qu’il y a toujours place à amélioration.


Premièrement, au niveau de la compétence communicative, j’ai pu remarquer certaines forces et faiblesses. J’ai pu observer que je gesticulais beaucoup, mais que cela devenait répétitif. De plus, je dirigeais beaucoup les discussions. En effet, j’utilisais divers moyens pour parvenir à cela tels qu’amener toutes les personnes à participer à la discussion et poser plusieurs questions. Finalement, j’ai réussi à faire preuve d’une bonne écoute. Les hochements de la tête et les reprises des idées de mes collègues en témoignent.


Du côté de la compétence discursive, je n’ai que très peu de problème à soulever. En gros, j’étais bien préparée à chaque discussion. La lecture des textes était faite et des questions pertinentes étaient préparées en avance. Durant les discussions, j’amenais souvent de nouvelles idées et celles-ci étaient toujours bien structurées. Aussi, à travers tout cela, je crois avoir largement donné mon opinion sur les divers sujets discutés. Bref, j’ai grandement participé aux discussions.

Au niveau de la compétence linguistique, je présente de nombreuses forces, mais une grande faiblesse. On me considère comme une personne de très animée lorsqu’elle parle. Lorsque je dis «animée», cela signifie que je parle fort, je gesticule beaucoup et j’exprime mes réactions à l’aide de mon non verbal (expressions faciales, positions des mains, etc.). Par contre, là n’est pas ma faiblesse. Généralement, dans mon discours, j’utilisais un bon registre de langue, mais, à quelques occasions, il se faufilait dans celui-ci des expressions dites familières telles que «j’vous» et «y’en a ». D’ailleurs, l’enrayement des mots familiers fut le défi que je m’étais imposé pour toutes les discussions.

Compétences professionnelles

Évidemment, le cours de communication nous amène à développer quelques compétences professionnelles. Il vise particulièrement les compétences un, deux, onze et douze. De mon côté, j’ai surtout travaillé les compétences deux et onze.

D’abord, la compétence deux, c’est-à-dire communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement, à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante , était particulièrement importante pour moi. Mon principal moyen pour travailler cette compétence était d’améliorer la qualité de mes propos en éliminant les expressions familières de mon discours. Pourquoi un tel effort? Parce que je pense que le but principal du cours d’Expression orale et expression écrite est de nous aider à atteindre une certaine qualité de la langue afin de bien communiquer avec nos futurs élèves. De même, si nous considérons les enseignants comme des «passeurs culturels», il est très important que ceux-ci maîtrisent bien la langue, car celle-ci est un élément culturel primordial et distinctif du Québec.


Ensuite, j’ai beaucoup travaillé la compétence professionnelle onze qui affirme que nous devons nous engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel. Pour faire cela, j’ai tout simplement participé au cours dans lequel nous faisions de nombreux apprentissages utiles à ma formation d’enseignant. À travers tout cela, je crois avoir fait preuve d’une grande volonté d’apprendre.

Conclusion

En résumé, la première partie du cours de communication nous a permis de perfectionner nos compétences professionnelles et langagières orales. Également, nous avons fait plusieurs apprentissages significatifs. Cette synthèse qui est un bon outil pour voir où nous en sommes dans notre cheminement me permet de voir, en gros, mes points forts et mes points faibles au niveau de ma maîtrise de la langue. Puisque nous en sommes qu’au début, il est toujours temps, suite à nos observations, de nous réajuster. Après tout, nous sommes continuellement en formation.

La grammaire


Dans ce cours, nous avons pu constater l’importance de la grammaire de la langue française à travers les siècles. Cette évolution permit de faciliter la compréhension de la langue écrite. Pour parvenir à cela, la grammaire a été uniformisée pour créer un code purement conventionnel. Cet important code est principalement enseigné à l’école. Au Québec, les méthodes d’enseignement de la grammaire ont varié énormément. Les programmes éducatifs, au cours des dernières décennies, mirent de l’avant, tour à tour, la grammaire normative et descriptive. À travers tout cela, la grammaire de base a été très vite oubliée.

De plus, nous avons appris les différentes composantes d’une grammaire de texte. Pour qu’un texte suscite de l’intérêt et qu’il soit compréhensible, l’auteur doit évidemment suivre des règles fondamentales. Que ce soit au niveau de la cohérence, de l’organisation graphique et de l’intégration des informations, il est important de respecter le code établi en matière d’écriture.

En somme, j’ai beaucoup appris de notions sur la grammaire à partir de l’historique et les composantes de la grammaire du texte. Ces nouvelles connaissances en ce domaine devront être grandement utiles pour la prochaine partie qui correspond à l’écriture.

vendredi 13 février 2009

13 février 2009: Les anglicismes


Dans ce cours, j’ai appris que nous devons, en tant que proches voisins des Américains, porter une attention particulière aux anglicismes qui pourraient s’introduire dans notre discours. Lorsque nous utilisons des mots ou expressions empruntés de l’anglais, nous risquons de tomber dans le registre de langue dit familier. Évidemment, cela peut être l’effet recherché, mais, à certains moments, cela n’est guère approprié aux circonstances. D’ailleurs, ceux-ci, divisés en cinq grandes catégories, peuvent, à plusieurs occasions, être remplacés facilement par des expressions françaises bien tournées.

samedi 7 février 2009

Les devoirs: pour ou contre


Dans le cadre de notre cinquième cours de communication orale et écrite, j’ai fait un tout nouvel apprentissage significatif. Ce jour-là, j’ai appris à utiliser les principes de la transcription phonétique. Selon les propos du professeur, cela aurait dû nous être enseigné il y a bien longtemps puisque ces principes sont très importants pour l’apprentissage de nouvelles langues. D’ailleurs, elle a su si bien me convaincre que je me suis beaucoup impliquée dans l’activité de transcription phonétique.
Dans ce cours, j’ai travaillé les compétences langagières suivantes et voici comment :
Mon défi de la semaine dernière était de travailler ma compétence linguistique, mais plus précisément je voulais éliminer les expressions familières de mon discours. Pour une fois, j’ai atteint mon but. Pour parvenir à cela, j’ai dû sélectionner les mots que j’employais, quitte à utiliser des mots plus simples pour expliquer mon idée. De plus, pour ne pas tomber dans le registre de langue dit familier, j’ai évité de faire des pauses lorsque je parlais.

Dans ce cours, j’ai travaillé la compétence professionnelle onze puisque je ne cesse d’apprendre. Cette fois-ci, j’ai appris les principes de la transcription phonétique, mais, à chaque cours de communication, nous acquérons de nouvelles connaissances qui nous permettront d’être des enseignants accomplis.